Je raconte ici mon voyage à Budapest de 3 jours effectué en mai !
La deuxième journée commence mal. En effet, à 8h30, alors que nous dormons encore, un bruit de clef se fait entendre et une jeune femme entre dans la chambre. On ouvre péniblement les yeux et on la trouve plantée devant notre lit. D’an air gêné, elle commence à nous parler à l’anglais. Dans notre demi-sommeil éberlué nous comprenons que allons devoir changer de chambre, mais avant toute chose, il faut se rendre à l’accueil de l’auberge. Là-bas, on apprend que l'on sera installé dans une des chambres de l'appartement d'Alice et maman.
Nous découvrons donc la troisième chambre de l’appartement. Elle est vraiment spéciale. Il faut passer par la salle de bain pour entrer, si bien que si quelqu’un prend sa douche, on est coincé soit dedans, soit dehors. Le plus drôle est qu’on peut éteindre la lumière de la salle de bain depuis notre chambre. Et bien sûr, rien ne nous empêche d’ouvrir la porte à tout moment, surtout que, souvent, les gens dans la salle de bain ne se doutent absolument pas que nous sommes derrière la porte ! Mais ce n’est pas tout, il y a la porte fenêtre qui donne dans la chambre d’Alice et maman. Nous ne pouvons pas l’ouvrir, mais le rideau étant de notre côté, il nous suffit de le pousser pour voir l’intérieur de leur chambre ! Mais l’aspect le plus étrange de la pièce vient peut-être des énormes placards neufs qui recouvrent tous les murs, alors que la chambre est petite et qu’il n’y a qu’un seul lit double… Par contre, rien n’a été fait pour véritablement condamner la porte fenêtre. Il n’aurait pourtant pas été difficile d’installer autre chose qu’un rideau translucide…